Si vous souhaitez allé au USA, depuis le 21 octobre il vous faut un nouveau passeport avec une lecture optique........
attention même si les USA, ne sont pas votre destination, mais vous faites un transfert volontaire ou involontaire, il vous faut le nouveau passeport.......
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Globe
Nope, M'sieur Globe, cette mesure est repoussée à ocotbre 2004 :
"La mesure concernant l'obligation de présentation d'un passeport à lecture optique pour tous les ressortissants des pays susceptibles de se rendre aux Etats-Unis sans visa, dans le cadre du programme d'exemption, initialement prévue pour le 1er octobre 2003, a été repoussée au 26 octobre 2004 "
source : <!-- m --><a class="postlink" href="http://www.amb-usa.fr/pagefr.htm">http://www.amb-usa.fr/pagefr.htm</a><!-- m -->
Gus a écrit :Nope, M'sieur Globe, cette mesure est repoussée à octobre 2004
J'ai lu que les américains n'ont pas réussit à ce mettre d'accord avec les européens sur la constitution de la base de données de flicage. Ils ont aussi surestimé le boulot et le coà»t pour mettre en place une telle mesure.
J'ai un copain thaà¯, qui travaille comme chercheur en France, en septembre il a dà»t allé à une conférence au Mexique avec un transfer au USA, on lui a refusé l'embarquement car il lui fallait un Visa US......
le problème c surtout quand tu va en Amérique du Nord ou du Sud, mais encore dans le coin et que tu te retrouve obligé volontairement ou involontairement à faire un transfer au USA, visiblement c galére maintenant.......
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Globe
et drunken qui veut y partir pour 9 mois
m'étonne pas qu'il attendent encore son visa
I'm singing in the galleries, yes singing in the quarries
today you'll learn, what a marvellous game...
I'll brake all your bones,I'll walk on your face,
just singing, yes singing in the galleries.....
A voté ! Bigbrother is watching you. Même le numéro de votre carte de crédit est transmis aux services de l'émigration US.
Citation :Données des passagers: Bruxelles accepte finalement les demandes américaines
BRUXELLES, 17 déc (AFP) -
La Commission européenne a finalement accepté de laisser les Etats-Unis collecter des données privées sur les passagers aériens venant d'Europe, estimant avoir obtenu des garanties "minimales" de la part de Washington sur leur utilisation au nom de la lutte contre le terrorisme.
Depuis mars 2003, les services douaniers américains exigent des compagnies aériennes, sous peine d'amendes, d'avoir accès aux données de leur système de réservation pour les vols à destination, au départ ou à travers le territoire des Etats-Unis.
Ces données (connues sous le nom de Passenger Name Record, PNR) peuvent être par exemple le numéro de téléphone du passager, son adresse e-mail, le numéro de sa carte de crédit ou ses préférences alimentaires.
Après un an de négociations, Bruxelles a proposé mardi de considérer que les Américains garantissaient une "protection adéquate" de ces données, conforme à la législation européenne, bien qu'elle n'ait pas obtenu satisfaction sur toutes ses revendications.
Dans ce dossier, le commissaire au Marché intérieur Frits Bolkestein n'a pas caché qu'il était en position de faiblesse face aux Américains qui décident "souverainement qui est autorisé à entrer dans leur pays".
En outre, toutes les compagnies aériennes - à l'exception d'Alitalia - avaient déjà accepté de transférer ces données lorsque les négociations ont débuté en mars, bien que ce transfert soit "légalement discutable", selon M. Bolkestein.
Le commissaire a jugé que les Etats-Unis avaient fait "des concessions importantes", notamment sur la durée de stockage des informations demandées (trois ans et demi contre 50 ans initialement) et la possibilité de recours par les autorités nationales de protection des libertés (comme la CNIL en France).
Les autorités européennes et américaines vérifieront en outre chaque année la bonne application de l'accord.
En revanche, les Américains ont maintenu l'essentiel des informations demandées (au nombre de 34 alors que les Européens voulaient la réduire à 19), notamment les numéros de carte de crédit et de téléphone.
Toutefois, les compagnies aériennes ne demandent généralement que 10 à 15 données et ne seront pas contraintes d'en demander plus. Les Etats-Unis se sont également engagés à ne pas stocker les données révélant l'origine raciale ou ethnique (comme les préférences alimentaires).
Le Parlement européen et les Quinze doivent maintenant donner un avis avant que la Commission ne puisse adopter définitivement son constat au printemps et signer un accord instaurant la réciprocité entre l'UE et les Etats-Unis.
L'exécutif européen pourra difficilement ignorer l'avis du Parlement, très en pointe sur ce dossier touchant aux libertés individuelles.
La Commission n'aura en revanche pas de difficultés avec les Quinze dans la mesure o๠l'UE réfléchit également à utiliser les données de passagers arrivant en Europe dans le cadre de la lutte contre l'immigration clandestine.
Bruxelles, qui a reçu des demandes similaires du Canada et de l'Australie, souhaiterait à terme arriver à un accord multilatéral au sein de l'Organisation de l'aviation civile internationale.
Dans l'intervalle, les passagers qui n'autoriseront pas ce transfert de données, risquent un refus de prise en charge des compagnies aériennes ou de longues heures d'attente à l'arrivée aux Etats-Unis, a prévenu le porte-parole de M. Bolkestein.
"En dernier ressort, il y a toujours l'option de ne pas aller aux Etats-Unis", a-t-il résumé.
Des responsables du département de la Sécurité intérieure ont indiqué que la majorité des 27 pays dispensés de visa préalable - européens pour la plupart, mais également Japon et Australie - ne réussiraient probablement pas à inclure ces données dans leurs nouveaux passeports d'ici la date butoir.
L'an dernier, 15,1 millions de personnes dispensées de visa préalable se sont rendues aux Etats-Unis o๠elles ont dépensé les deux-tiers de la somme totale dépensée par les visiteurs étrangers.
James Williams, directeur d'un programme lancé lundi par le département de la Sécurité intérieure pour prendre les empreintes et photographier tous les arrivants nécessitant un visa, a déclaré que bon nombre de pays, parmi lesquels la Grande-Bretagne et le Japon, ne réussiraient probablement pas à se mettre en conformité dans les temps.
Richard Webster, directeur des affaires gouvernementales à l'Association des voyagistes d'Amérique, a affirmé que la date d'octobre était "impraticable".
Il a ajouté que, selon certaines études, la suppression de la dispense de visa préalable pour certains pays ferait perdre aux Etats-Unis au moins 10 à 15 milliards de dollars de sommes dépensées par les visiteurs étrangers.
La législation actuelle n'autorise pas les exceptions et ne permet pas de repousser la date-butoir, mais des responsables du Département de la Sécurité intérieure et Webster ont déclaré que le Congrès discuterait de ce problème dans le courant de l'année.
On crois rèver. Du pur Orwell ! Bientôt le tatouage au fond de l'iris, et dans 20 ans l'implant cranien.
Citation :Trois couleurs pour graduer le risque posé par un visiteur aux Etats-Unis
WASHINGTON, 12 jan (AFP) - 12/01/2004
L'administration Bush cherche à classifier tous les voyageurs pour les Etats-Unis en fonction du risque qu'ils sont susceptibles de représenter pour la sécurité aérienne, une mesure qui inquiète des défenseurs du droit à la vie privée.
Cette classification sans précédent sera établie à l'aide de trois couleurs -- vert, jaune, rouge -- attribuées à chaque visiteur peu après la réservation de son billet, sur la base de données personnelles.
"C'est un système de vérification d'identité", a expliqué lundi le porte-parole de l'Administration pour la sécurité des transports (TSA), Mark Hatfield, lors d'une téléconférence de presse.
Le responsable a immédiatement tenté de couper court à toute critique relative au respect de la vie privée.
"Nous ne ferons pas avancer ce projet si le protocole garantissant le respect de la vie privée n'est pas en place", a-t-il insisté, en expliquant que le système baptisé CAPPS-2 allait commencer à être testé dans les deux prochains mois et jusqu'au début de l'été dans un ou plusieurs aéroports américains.
Une assurance qui n'a pas tranquillisé les défenseurs des libertés individuelles.
"Une sécurité du pauvre", a ironisé Barry Steinhardt, un responsable de l'American Civil Liberties Union. "Chaque passager va être passé à la loupe (...) et son identité vérifiée à partir de données du renseignement", a-t-il averti.
Le programme, élaboré à la demande du Congrès, s'inscrit dans le cadre des mesures de sécurité mises en place ou à l'étude depuis les attentats du 11 septembre 2001 contre les Etats-Unis.
En fonction de la couleur attribuée, le visiteur subira un contrôle de routine (vert), plus sévère (jaune) ou se verra interdit d'embarquement (rouge) vers les Etats-Unis.
"Au moment d'effectuer votre réservation, vous vous verrez demander de fournir vos nom, adresse, numéro de téléphone et date de naissance" ainsi que l'itinéraire du voyage, a expliqué Mark Hatfield.
"C'est à ce stade que le système se mettra en route", a-t-il précisé.
"Si vous êtes +rouge+, vous ne volerez pas et vous serez confronté à des représentants de l'ordre", plus spécialement du FBI (police fédérale), a poursuivi le porte-parole.
"Si vous êtes +jaune+ ou +vert+, le processus sera renouvelé à chaque fois que vous achetez un billet et l'information n'est pas mémorisée" dans le système, a-t-il souligné.
Mais, a averti Mark Hatfield, si un voyageur est apparenté par erreur à un terroriste présumé, "il ne sera pas en mesure d'embarquer tout de suite, il devra parler à des représentants de l'ordre, et il lui sera donné une occasion d'établir qu'il y a erreur sur la personne, s'il pense que c'est le cas".
Le billet d'avion ne sera toutefois pas remboursé par les autorités américaines.
Le porte-parole a évoqué l'accord conclu mi-décembre avec l'Union européenne et visant à obtenir des informations sur les passagers embarquant dans les aéroports européens à destination des Etats-Unis.
Cet accord, qui doit encore être entériné par le Parlement européen, doit permettre aux autorités américaines d'utiliser 34 éléments relatifs à chaque passager européen arrivant aux Etats-Unis afin de mieux les contrôler et s'assurer qu'ils ne sont pas liés à des organisations terroristes.
"Nous cherchons à déterminer dans les prochaines semaines la manière d'obtenir les mêmes informations pour les vols intérieurs" aux Etats-Unis, a indiqué le porte-parole de la TSA.
"Nous sommes encore en négociation avec les compagnies aériennes américaines", a-t-il dit.
Depuis le 5 janvier déjà , les visiteurs étrangers arrivant par avion aux Etats-Unis, à l'exception des ressortissants de 28 pays (dont le Canada, l'Australie et ceux de l'Union européenne), sont pris en photo et subissent un relevé d'empreintes digitales.
Citation :Cette classification sans précédent sera établie à l'aide de trois couleurs -- vert, jaune, rouge -- attribuées à chaque visiteur peu après la réservation de son billet, sur la base de données personnelles.
Citation :Un Français arrêté à New York pour des remarques sur une bombe dans un avion
AFP | 16.01.04 | 19h56
Un jeune Français a été arrêté à sa descente d'avion à l'aéroport Kennedy de New York pour avoir fait des remarques dans l'appareil à propos d'une bombe, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.
Présenté le 11 janvier à un juge de la cour criminelle du Queens, au lendemain de son interpellation, Frank Moulet a été inculpé pour "fausse alerte", selon la porte-parole du procureur du Queens, Richard Brown.Le jeune homme, un étudiant de 27 ans originaire des Bouches-du-Rhône (sud de la France), se trouvait à bord d'un avion American Airlines en provenance de Saint-Domingue. Sollicité par l'équipage alors qu'il s'attardait aux toilettes, il était sorti en faisant des remarques au sujet d'une bombe.
"Je n'étais pas en train de mettre une bombe !", aurait-il déclaré, selon sa mère, Marie-France Moulet, interrogée depuis Châteaurenard (Bouches-du-Rhône).
Il a été remis à l'arrivée aux autorités, avec sa petite amie, par la suite remise en liberté et renvoyée en France. Le couple, en vacances à Saint-Domingue, était en transit à New York avant son retour en France.
Toujours en détention, dans le centre pénitentiaire dit "le bateau", une barge amarrée face au quartier du Bronx, Frank Moulet devait de nouveau comparaître le 26 janvier.
Son avocat essayait cependant d'avancer la date de l'audience: "Nous espérons le sortir de là le plus rapidement possible. Ce garçon n'est pas habitué à ce genre de choses. Mais (les autorités) prennent l'affaire sérieusement en raison des préoccupations de sécurité", a indiqué John Moher, avocat commis d'office.
Franck Moulet aura ensuite en outre à répondre aux questions de l'immigration américaine, qui souhaite l'interroger, selon son défenseur.Il encourt jusqu'à 4 ans de prison.
Plusieurs incidents de ce type se sont produits depuis quelques mois. Un copilote d'Air France notamment est poursuivi pour avoir déclaré en plaisantant, en aoà»t dernier à l'arrivée à Kennedy, être en possession d'une chaussure piégée.