0 | 0 | ||
(Lun. 04 Sep 2017, 10:00)plongeur a écrit : ce sont ces missions de protection de personnalité qui avaient donné a Régis sa sensation de toute puissance. Jusqu'a ses soucis avec le fisc pour cours de judo non déclaré et sa fin de carrière peu glorieuse en lointaine banlieue, unique pour un major!!
C'est aussi la raison de l'absence des cataflics durant un mandat d'un président normal qui a explosé les heures sup des équipes de protection ;-)
Epoque changeante, le nouveau utilisera helico, avion, voiture qui necessitent beaucoup moins de personnel de protection "terrain"
retour des cataflics a une partie traditionnelle de leur mission.
Ca m'a l'air un peu fantasmagorique tout ça... Ca semble contenir autant de traces de vérité que quand Duval nous conte les carrières.
La protec, c'est le pré carré du SDLP (ex-SPHP), qui lui même a des élites au sein de l'élite, avec le GSPR.
La BI PP concourt à la sécurisation des lieux, voilà tout. C'est à peu près aussi bandant que de garder une barrière, sauf que parfois, ça se fait sur un point haut. Le max du frisson, c'est quand tu as un tireur haute précision qui transpire des couilles ou se les gèle des heures durant, parfois pour garder un bâtiment vide, ou attendre des heures durant le passage (de 30 secondes) d'un convoi.
Quant à la prise de galon au sein du corps d'encadrement et d'application, elle est aujourd'hui, du fait de la réforme des carrières et quelques déséquilibres dans la pyramide, souvent tant tardive que conditionnée à un déplacement géographique.
Citation :retour des cataflics a une partie traditionnelle de leur mission.
Du temps de JCS, peut-être, mais c'était il y a plus de 20 ans, avant une grande réforme et avant même, je pense, qu'on n'installe la BI PP sous sa forme actuelle à Vincennes.
Aujourd'hui, la traditionnelle mission semble d'avantage d'être la livraison de Ricoré de bon matin, chez des clients pour qui la tenue bleue traditionnelle ne suffit pas, et où on juge bon d'accélérer l'ouverture de porte à coups de bélier, que de serrer François-Xavier et Jean-Kevin en train de boire du panaché après s'être sali les pieds dans la boue.